Éditions PLEIN CHANT
Apostilles
 
Louis Jou




Anatole France, Thaïs, Paris, Les Cent Bibliophiles, 1924

« Je vais gratter encore cette semaine quelques bois pour Thaïs et j'espère, hélas ! avoir fini mes 25 planches 14x19 qui sont un quelque chose comme effort de travail ! » (lettre de L. Jou à A. Suarès, Les Baux, 9 octobre 1922, Correspondance, éditée pour la Fondation Louis Jou, 2010, p. 98).

Une autre lettre, Paris, 26 novembre 1923 :
« Thaïs m'embête à mourir. Voilà ce que c'est que d'avoir à faire à de belles poules [Thaïs était une courtisane de l'Antiquité grecque] lorsque l'on n'a pas d'argent. Elles ruinent même là où il n'y a rien à ruiner » (ibid., p. 112)
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